Guide pratique Bali
INDONÉSIE 2022
les vols : Ayant pris nos vols un peu au dernier moment, nous avons eu 2 escales car cela était moins cher. Je te conseille de prendre tes billets en avance pour n’avoir qu’une escale à des prix abordables.
Nos escales se sont déroulées à Jeddah (en Arabie Saoudite) et à Kuala Lumpur (en Malaisie). Concernant les mesures sanitaires, nous avons dû montrer notre pass vaccinal à jour et télécharger 2 applications (du type « tous anti Covid » en France), mais il n’y a qu’en Malaisie qu’ils ont vérifié. L’aéroport de Kuala Lumpur est très grand avec de nombreux contrôles de sécurité à passer, ainsi que 2 terminales avec 2 trains à prendre pour passer des vols intercontinentaux à des vols locaux… je te conseille donc de prévoir de la marge si jamais tu as une escale là-bas ! En effet, pour la petite histoire, nous avons raté notre correspondance pour Bali à l’aéroport de Kuala Lumpur. Nous n’avions de base qu’une heure trente d’escale pour passer tous les contrôles, sauf que notre avion avait un peu de retard + le temps de sortir de l’avion, il ne nous restait plus que 40 minutes ce qui était beaucoup trop court malgré nos sprints et qu’on soit passés devant tout le monde aux contrôles ! Nous n’étions pas les seuls dans ce cas là, ce qui nous a un peu rassuré. Nous avons repayé un billet d’avion et pris le prochain vol qui par chance était 4heures après, donc pas besoin de trouver un logement pour passer la nuit.
les déplacements : Le moyen le plus pratique et économique pour tes déplacements sera le scooter. Tu trouveras plein d’endroits pour en louer un, c’est environ 50 000 roupies pour 24 h (1 euros = 15 000 roupies environ en 2022). Par contre si tu n’en as jamais fait avant je te conseille de passer ton chemin car ce n’est pas l’endroit idéal pour apprendre ! Effectivement la circulation est assez dense avec énormément de scooters et de voitures, la conduite est à gauche et pour couronner le tout je pense qu’il n’y a pas vraiment de code de la route… De plus les scooters en location ne sont pas toujours en bon état, sur celui que nous avions loué l’aiguille pour afficher les km/h ne marchait pas. Ils ne te proposeront pas directement de prendre un casque mais mieux vaut l’avoir. N’hésite pas à le demander !
N’étant pas très à l’aise avec le scooter voire pas du tout mdr, nous avons préféré nous déplacer avec un chauffeur. Cela est plus cher mais nous étions plus rassurés. Cela permet également d’échanger avec des locaux. Par contre il faut négocier et se mettre d’accord sur un prix avant même de monter dans la voiture pour ne pas avoir de surprises après (surtout pour les taxis, les guides sont différents) !
Pour en trouver, rien de plus simple, tu peux demander à ton hôtel ou alors tu trouveras plein de taxis dans les rues qui ne manqueront pas de t’accoster ! On ne peut pas marcher tranquillement sans se faire aborder à de nombreuses reprises par des « taxis, taxis ?! ».
Nous avons aussi utilisé à quelques reprises l’application GRAB qui est comme UBER en France. Cela est pratique mais pour des petits trajets. Attention dans de nombreux endroits ils sont interdits car les hôtels privilégient les taxis locaux.
les hôtels : nous avions tout réservé à l’avance. Les prix sont très abordables ! Nous nous sommes permis de faire 2 grands hôtels assez chics et 3 autres hôtels plus simples. Le personnel était toujours très gentil et aux petits soins pour nous faire plaisir ! Notre sélection s’est portée sur des logements avec piscine et petits déjeuners compris.
Nous sommes passés par Booking.
les loisirs : Il faut savoir que là bas tout est payant pour les touristes. Les temples sont les plus chers, mais tu devras également payer pour voir les rizières, les cascades et certaines plages. Les prix varient entre 20 000 et 60 000 roupies par personne. Des fois tu dois payer l’entrée puis par la suite faire des donations pour qu’ils te laissent poursuivre ta visite (c’est le cas pour Tegallalang Rice Terrace par exemple). Les guides ne sont en général pas obligatoires, donc même s’ils sont très insistants, tu n’es pas obligé de les prendre ! Le port du Sarong est lui obligatoire dans les temples. Tu pourras en emprunter un gratuitement sur le lieu ou t’en acheter un dans un des nombreux marchés et magasins de souvenirs qui se trouvent sur l’île. N’hésites pas à négocier les prix car ils commencent souvent très chers, puis quand tu dis « non », ils te demandent à quel prix tu souhaites l’acheter. La négociation commence alors aha.
Je te conseille donc de prévoir beaucoup de liquide. Des distributeurs ATM sont souvent présents dans les villes, il est facile de retirer. Regarde en amont avec ta banque si c’est possible et si tu as des frais.
De façon générale, il n’y avait pas tant de touristes que ça, ce qui a été pour nous très agréable. Cela est dû au fait que nous sommes partis hors saison. Attention, à Bali de novembre à mars c’est la saison des pluies, ce n’est donc pas la meilleure période pour partir là-bas !
l’alimentation : l’eau n’est pas potable à Bali, soit vigilant avec les glaçons qu’ils mettent dans les boissons au risque d’attraper la tourista… cela m'est arrivée, heureusement le dernier soir de notre séjour !
Les spécialités sont le mie goreng, nasi goreng, chicken satay et pisang goreng.